Notre histoire
Le Vivier-sur-Mer tire son nom du latin « Vivarium » (vivier).
Selon certains historiens, ce serait au Vivier que Saint-Samson, premier évêque de Dol et prêtre fondateur de la Bretagne aurait débarqué en l’an 548. Le Vivier-sur-Mer se développe à partir du XIIème siècle, suite au creusement du grand Bied. les eaux du Guyoult furent canalisées de Dol à la mer, à travers le marais.
La digue, d’une longueur de 30km, allant de la limite du département de la Manche à Saint-Méloir des Ondes, aurait été construite à partir du XIème siècle par les évêques de Dol.
Par sa configuration et sa situation, Le Vivier-sur-Mer ne pouvait avoir qu’une vocation maritime.
Le quai du Vivier, en pierre de tailles, est un ouvrage du XIXème siècle et le pont qui enjambe les quatre canaux fut inauguré en 1817 par Louis d’Artois, Duc d’Angoulême d’où son nom de Pont d’Angoulême.
Pendant un millénaire, le cabotage a été très actif : port du pays de Dol commerçant avec l’Angleterre, l’Espagne, l’Afrique du Nord. Le déclin de cette activité coïncide avec le développement du chemin de fer (deuxième moitié du 19ème siècle).
En 1954, la commune a implanté en Baie une activité nouvelle : la mytiliculture (élevage des moules de bouchots). Elle est devenue l’activité économique principale de la Baie avec l’ostréiculture. Ce centre mytilicole est le 1er centre d’élevage de moules de bouchots de Bretagne Nord et représente le quart de la production française. On compte environ 250 kilomètres de lignes de bouchots pour une soixantaine d’entreprises qui emploient 300 ouvriers. Ces emplois sont essentiellement basés sur le port du Vivier/Cherrueix.